MARC CHARBONNEAU DIRIGE UNE COOPÉRATIVE DE TRAVAILLEURS À SAINT-TITE-DES-CAPS
Marc est directeur général du Collège des Hauts Sommets, une école secondaire privée en pleine nature.
MARC CHARBONNEAU DIRIGE UNE COOPÉRATIVE DE TRAVAILLEURS À SAINT-TITE-DES-CAPS
Marc est directeur général du Collège des Hauts Sommets, une école secondaire privée en pleine nature.
MARIE-CLAUDE GIRARD DIRIGE UN ORGANISME SANS BUT LUCRATIF À MONTRÉAL
Marie-Claude est directrice générale du Collège Ville-Marie, une école secondaire fondée par un enseignant et réputée pour son projet éducatif inclusif.
« Comme la plupart des écoles privées québécoises, le Collège Ville-Marie offre une variété de programmes qui permettent aux élèves de réussir, tout en poursuivant des intérêts personnels et en profitant de multiples occasions de se dépasser. Ceux qui éprouvent des difficultés scolaires peuvent compter sur l’aide de professionnels d’expérience et de cours particuliers pour les appuyer tout au long de leur secondaire. »
MARIE-CLAUDE GIRARD DIRIGE UN ORGANISME SANS BUT LUCRATIF À MONTRÉAL
Marie-Claude est directrice générale du Collège Ville-Marie, une école secondaire fondée par un enseignant et réputée pour son projet éducatif inclusif.
« Comme la plupart des écoles privées québécoises, le Collège Ville-Marie offre une variété de programmes qui permettent aux élèves de réussir, tout en poursuivant des intérêts personnels et en profitant de multiples occasions de se dépasser. Ceux qui éprouvent des difficultés scolaires peuvent compter sur l’aide de professionnels d’expérience et de cours particuliers pour les appuyer tout au long de leur secondaire. »
– Marie-Claude Girard
ANNE-MARIE BREAULT DIRIGE UN ORGANISME SANS BUT LUCRATIF À RAWDON
Anne-Marie est directrice générale de l’École Marie-Anne, une école primaire qui a développé un modèle pédagogique unique.
ANNE-MARIE BREAULT DIRIGE UN ORGANISME SANS BUT LUCRATIF À RAWDON
Anne-Marie est directrice générale de l’École Marie-Anne, une école primaire qui a développé un modèle pédagogique unique.
DOMINIC GUÉVIN DIRIGE UN ORGANISME SANS BUT LUCRATIF À DRUMMONDVILLE
Dominic est directeur général du Collège Saint‑Bernard à Drummondville, une école qui accueille des élèves de 4 à 18 ans, du Québec et de l’étranger.
DOMINIC GUÉVIN DIRIGE UN ORGANISME SANS BUT LUCRATIF À DRUMMONDVILLE
Dominic est directeur général du Collège Saint‑Bernard à Drummondville, une école qui accueille des élèves de 4 à 18 ans, du Québec et de l’étranger.
POURQUOI FINANCER L’ÉCOLE PRIVÉE ?
Autonomie
L’école privée est autonome. Elle choisit son personnel, détermine ses programmes et services et elle est responsable de ses immeubles. Cela lui permet de s’adapter rapidement aux besoins de sa communauté et d’innover. La présence d’écoles autonomes contribue de façon significative à l’innovation en matière d’éducation et a un effet d’émulation sur l’ensemble des écoles québécoises.
Accessibilité
Différents pays reconnus comme ayant un système d’éducation parmi les plus équitables offrent un choix aux familles en subventionnant généreusement un réseau d’écoles autonomes. Plutôt que de réserver ces écoles aux seules familles privilégiées, le financement public d’écoles autonomes permet à toutes les familles de profiter d’un véritable choix en matière d’éducation et d’avoir accès à des services favorisant la conciliation travail-famille. Les frais de scolarité des écoles privées varient en fonction de l’ordre d’enseignement, des services offerts, de la région et du fait que l’école est subventionnée ou non. Dans le cas d’une école subventionnée, les frais varient entre 15 $ et 25 $ par jour. Certaines écoles privées ont des fondations qui fournissent de l’aide financière aux familles qui ne peuvent assumer ces frais. Plus de 7000 élèves québécois bénéficient d’aide financière pour fréquenter l’école privée de leur choix.
Organismes sans but lucratif
Plusieurs écoles privées québécoises ont été fondées par des parents ou des enseignants qui recherchaient un projet éducatif différent. Un certain nombre d’entre elles ont été fondées par des communautés religieuses. Elles sont aujourd’hui des organismes sans but lucratif (OSBL). D’autres sont des coopératives. Tout l’argent reçu des parents et de l’État doit être réinvesti dans la mission éducative de l’école.
Mixité scolaire
La vaste majorité des écoles privées québécoises ne sélectionnent pas les élèves en fonction des résultats. Plusieurs offrent une variété de programmes non sélectifs et de concentrations qui permettent aux élèves de poursuivre un intérêt particulier, que ce soit le sport, le plein air, la musique, les arts de la scène, la robotique, les langues, l’entrepreneuriat, etc. Ces programmes jouent un rôle important dans la motivation des élèves. Environ 15 % des élèves qui fréquentent une école privée québécoise ont un plan d’intervention afin de les aider à surmonter des difficultés qui peuvent nuire à leur réussite scolaire. Il y a aussi douze écoles privées spécialisées en adaptation scolaire qui travaillent en partenariat avec les commissions scolaires pour scolariser des élèves ayant des défis particuliers.
Des économies pour l’État et les contribuables
Les élèves qui fréquentent l’école privée subventionnée font économiser plus de 600 millions $ par année à l’État. Au total l’ensemble des subventions de l’État représente environ 40 % du budget de fonctionnement des écoles privées régulières. Les écoles privées ne reçoivent pas d’argent des taxes scolaires. Il s’agit d’économies importantes pour l’État et les contribuables. Si l’on abolissait le financement public de l’école privée, les droits de scolarité seraient alors de l’ordre de 10 000 $ par année. La vaste majorité des élèves migreraient vers les écoles publiques, ce qui occasionnerait une augmentation importante du budget en éducation.